Charte éthique


Prévenir, instaurer une veille, sensibiliser, accueillir, écouter, conseiller, orienter, alerter, lutter

Panorama Project affirment leur engagement dans ces luttes avec le renforcement de l’équipe et la création d’un pôle élargi et toujours autonome de référent·e·s anti-discrimination. Ce pôle est à l’écoute et à la disposition de tous·tes les membres de l’association. L’ensemble des personnes actives dans la vie associative peut se tourner vers les référent·e·s en toute confiance en cas de problème et ce quelle que soit la position d’autorité de la personne désignée.


En faisant partie de l’association, toutes ses composantes – le conseil d’administration, le bureau, les partenaires, les mécénats, les bénévoles, les adhérent.e.s – s’engagent à adopter, en toutes circonstances, une attitude respectueuse des différences. Les attitudes et comportements inappropriés sont proscrits. Les personnes confrontées à ces situations ou celles qui en sont témoins ont la possibilité de les exprimer dans un cadre attentif et respectueux. La prévention et le traitement des faits de discrimination, violence ou harcèlement passent par la mise en place de procédures de remontée d’informations claires et transparentes, en vue de recueillir la parole des victimes ou témoins dans des conditions de confidentialité adaptées.

1. Rappel des 23 critères discriminatoires (article 225-1 du code pénal - modifié par loi n°2022-401 du 21 mars 2022 - art. 9  relative à l’égalité citoyenne) : Origine, sexe, situation de famille, grossesse, apparence physique, particulière vulnérabilité résultant d’une situation économique, apparente ou connue de son auteur.e, patronyme, lieu de résidence, état de santé, perte d’autonomie, handicap, caractéristiques génétiques, activités syndicales, mœurs, orientation sexuelle, identité de genre, âge, opinion politique, activités syndicales, de la qualité de lanceur d'alerte, de facilitateur ou de personne en lien avec un lanceur d'alerte, au sens, respectivement, du I de l'article 6 et des 1° et 2° de l'article 6-1 de la loi n° 2016-1691 du 9 décembre 2016 précitée, capacité à s’exprimer dans une langue autre que le français, appartenance ou non-appartenance, vraie ou supposée, à une ethnie, une nation, une prétendue race ou une religion déterminée.